7 décembre 2011
C'est pas un peu tôt?
Et maintenant?
Les élections sont encore loin dans le temps et pourtant elles se jouent et rejouent sur toutes les lèvres. Il est amusant de voir les nationaux commencer à chercher qui ils vont "soutenir". Ils font les comptes de ce que le conseil actuel leur a amené et ce qu'on leur a refusé. La prochaine attribution d'appartements va encore accentuer ceci. C'est notre façon à nous de vivre une campagne.
Aujourd'hui personne ne s'est officiellement déclaré. Les listes sont au stade du brouillon, les tractations sont en cours, mais les colleurs d'affiches sont déjà sur le pied de guerre.
Je me pose cependant une question, quand est il de notre grande spécificité électoral qu'est le panachage? Je ne suis pas en train de critiquer les soutiens sans failles de tel ou tel partis, encore moins les partis eux même, mais il me semble que les personnes doivent être plus importantes que les partis. Je n'ai jamais voté pour quelqu'un que je ne supportais pas, même si j'elisais sa liste. Ou inversement. Ai-je tort? Peut être. Peut être en effet que la proportionnelle "proportionnée" arrive à faire en sorte que des caractères affirmer comme nos politique puissent chacun mettre leurs égos et leurs idées de côtés pour que la liste puisse travailler. Peut être...
Il me semble pourtant qu'il est plus sage que plus d'un an avant une élection le rôle de la population doit se tenir à la critique, toujours constructive, de nos élus. Ceux qui ont eu un jour le mérite de sauter le pas. Car, même si personne ne sait encore qui, en 2013, va s'affronter ans l'arène à grand coup de critique sur l'utilisation du fond de réserve, une chose ne pourra pas leur être enlevé, c'est le courage qui leur faudra pour s'y jeter, dans l'arène.